La Maison de poupée
À la fois choc esthétique et narratif, la Maison de poupée, de Florence Hirigoyen, traite de l’inceste comme aucun autre ouvrage.
À la fois choc esthétique et narratif, la Maison de poupée, de Florence Hirigoyen, traite de l’inceste comme aucun autre ouvrage.
Le Problème avec les femmes et un petit livre illustré hilarant de Jacky Fleming.
C’est un projet de femmes, en BD, pour dire le métier de paysanne et le sexisme dont il est encore victime.
Violaine Bérot prend le pari de raconter une seule et même histoire par le prisme de 14 protagonistes, qu’elle ponctue par la ritournelle des fées de la grotte. Et ça marche !
Ce qui embarque d’emblée, dans cette histoire, c’est l’écriture singulière de Nathalie Yot. À la fois poétique et fictionnelle. Une écriture dépouillée.
Elle, elle vit avec un mari violent. Elle aime la montagne, la randonnée en terres de nature et de paix où personne ne s’évertue à la maltraiter.
Gare routière. Le printemps affleure et le soleil est doux. Début d’après-midi en semaine. Un petit groupe fait la queue au bord d’un quai.
Destiné à un public adolescent, Nuit rouge traite du sujet du viol, sans pudeur ni fausse retenue.
« Plus personne dans la rue d’ici la fin de l’année » avait annoncé le Président en juillet 2017…
Premier roman graphique, à ma connaissance, qui aborde le sujet de l’inceste et de la pédocriminalité.