Chez Hélène Duffau, il fait froid à l’extérieur mais chaud à l’intérieur
Une chronique de Philippe Lasterle chez Culture 31.
« Depuis Trauma, son premier récit publié chez Gallimard (une maison qu’elle connaît bien pour y avoir travaillé au côté, notamment, de Philippe Sollers) par lequel elle a signé une entrée remarquée en littérature en 2003, Hélène Duffau s’intéresse à ce qui bouleverse les êtres, ce qui les bouscule, ce qui les blesse, ce qui les transforme, ce qui les réconforte aussi. Elle ausculte le douloureux et le doux à la fois. Mais, si le regard qu’elle porte sur le monde est empreint d’une implacable lucidité et si, avant de noircir ses feuillets, elle plonge sa plume dans une encre bleu-gris, elle s’attache aussi à décrire la nature – celle-là même qu’on malmène trop souvent – et les êtres avec bienveillance. » Lire la suite…
Précédents articles relayés dans le blog à propos de
Vingt et une heures.