A comme Adé
Vingt et une heures en critique
J’ai été très agréablement surprise par la plume de l’auteur, c’est d’ailleurs la première chose qui m’a marqué en lisant ce livre. D’une douceur incroyable, on a presque l’impression de lire un poème de 126 pages. J’ai rarement été aussi rapidement subjuguée par une plume, et cet élément constitue à mon sens le plus bel atout du livre.
L’article chez A comme Adé.